mercredi 24 octobre 2012

Pas bon, pas pantoute

Ce n'est pas sans scrupule que je n'ai publié mon commentaire de l'essai de François Bon, Après le livre.

C'est qu'il est très intéressant cet essai, lequel, en plus de m'en apprendre beaucoup sur l'histoire du livre et de dévoiler un possible futur où le livre aura changé de support et de présentation -- il a déjà beaucoup évolué depuis le rouleau de papyrus et la tablette d'argile, et pourtant : ne fait-on pas comme autrefois défiler le texte sur la tablette électronique comme si on le déroulait ? m'aura donné le plaisir un peu coupable de la traque à la coquille et à la grammaire baroque.  

Voilà une phrase bien longue, merci de ta patience, ô lecteur.

Qui aime bien châtie bien ?

Quoiqu'il en soit, la lecture de son Autobiographie des objets -- fort bien reçue par ailleurs -- m'aura très rapidement exaspéré, et pourtant je sais être patient, donnant toujours -- la plupart du temps -- sa chance au scribe.

Le contraste aura été trop grand entre le lumineux, bien que très dur, Home de Toni Morrison.

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